L'auteur
Depuis la publication de son premier livre, Kristan Higgins a vu ses romans classés sur les listes de best-sellers de USA Today et du New York Times. De grands magazines américains l’ont élue « meilleur roman de l’année » à plusieurs reprises. Auteur de comédies romantiques piquantes et pleines de charme, elle possède le don de savoir faire (vraiment) rire autant que d’émouvoir (aux larmes).
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12/01/2015
elisabeth004 -
génial, j'avais auparavant lu cette auteure et son humour décapant m'avait déjà laissé un bon souvenir. ses personnages sont haut en couleurs, on ne s'ennuie pas et on n'arrive pas à poser son livre. il y beaucoup de moments hi-la-rants, en bref on peut dire qu'elle a le sens de la formule. c'est presque dommage qu'elle n'utilise pas le style du double récit (une narration de l'heroine et une narration du héros) car le pauvre : elle le fait sacrément tourner en bourrique. bonne lecture !
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01/07/2015
TessaG -
Tout comme pour L’amour et tout ce qui va avec, j’ai beaucoup aimé le style de l’auteure. L’histoire se lit bien et facilement tout en parlant de l’amour avec ses hauts et ses bas. Le petit plus? L’auteure n’oublie pas d’y amener une touche de fraicheur!
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21/05/2015
Unpeudelecture -
Voici le lien vers mon avis : http://unpeudelecture.blogspot.fr/2014/02/tout-sauf-le-grand-amour-kristan-higgins.html
13/03/2013
louve002 -
Tout sauf le grand amour est un roman qui se dévore, qui est mature et bien écrit et me donne très envie de découvrir autre chose de l'auteur, car je ne suis pour le moment absolument pas déçue de ses écrits ! Une occasion pour me mettre enfin à la romance, genre que j'ai rejeté pendant très longtemps !
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03/07/2013
Lune & Plume -
Ou comment résumer ce bouquin en un mot : Déception. Voilà tout est dit maintenant je peux retourner sous ma couette.
Quatre jours que je suis malade à cracher mes poumons, incapable de lire. Hier soir, après cure de cortisone et d’antibiotique je me suis dit « tiens et si je bouquinais un peu ? ». Après une intense réflexion sur le choix du livre (La Belle et la Bête ou Tout sauf le grand amour ), j’ai choisi le Higgins (je veux pouvoir déguster pleinement La belle et la bête).
Kristin Higgins est une auteur qui ne m’avait jusqu’alors jamais déçue, toujours de l’amour (le vrai, qui clignote en rose fuchsia), des fous rires (les vrais, qui nous feraient presque pleurer). Bref tout ce que j’aime dans une romance. Et pourtant… Tristesse… Ce livre est ma première véritable déception de l’année (vous allez me dire que j’avais déjà été déçue par Par la Grâce de Sa Majesté, et je vous répondrais alors que c’était une « bébé » déception due au manque de romance dans le bouquin qui sinon aurait été parfait alors que Higgins c’est vraiment une déception sous tous les points !).
Attention risque de gros spoilers dans la suite. D’abord l’histoire. Lucy a perdu son mari il y a cinq après seulement huit mois de mariage. A maintenant trente ans et après la naissance de sa nièce, elle décide qu’il est grand temps qu’elle prenne sa vie en main, se trouve un bon mari, père de ses futurs enfants mais dont elle ne tombera pas amoureuse. Oui car une malédiction touche les femmes de la famille, malédiction qui en ferait des veuves noires à un âge très jeune. Et Lucy ne veut plus souffrir. Jusque-là, je me dis pourquoi pas.
Pour se lancer à la recherche de son futur « non grand amour », Lucy va d’abord devoir se séparer de son « sex friend » l’adorable Ethan (qui se révèle être le seul point positif du bouquin). Ethan qui n’est autre que le jeune frère de Jimmy le mari de Lucy (alors là premier grincement de dent, le coup du petit frère je trouve ça moyen, mais quand en plus on apprend ensuite qu’Ethan est amoureux de Lucy depuis le début, que Jimmy était au courant quand il a fait la connaissance de Lucy et que cela ne la absolument pas arrêté deuxième grincement de dents, puis qu’on découvre que Jimmy était fiancé avec une autre femme à ce moment-là troisième énorme grincement de dents !). Et ça commence à faire beaucoup de grincement de dents !
Autre gros point noir : Lucy ! Je lui aurais filé des claques tout au long du livre (et je vous parle même pas de sa sœur complètement paranoïaque qui a besoin de voir un bon psy). Lucy qui m’a tapé sur les nerfs, j’avais qu’une envie : lui crier d’arrêter de nous emm*rder, de vite se rendre compte qu’elle est amoureuse d’Ethan et qu’elle nous fiche la paix avec ses états d’âmes. Avec Lucy, Kristan Higgins a voulu nous montrer toutes les étapes du deuil (sauf que 5 ans après, de suite ça rend moins bien…). Et puis, si je vous explique qu’un de mes romans phares est PS : I Love You vous comprendrez que la barre est très haute pour tout ce qui est romans dont le thème est le deuil après la perte d’un mari. Pour le coup, Higgins n’arrive même au niveau du petit orteil de Cecelia Ahern. En gros, un échec de plus dans ce bouquin.
Le livre est en plus rempli de longueurs (à plusieurs reprises, l’envie m’a démangée de sauter des lignes tellement je m’ennuyais), pas de gros fou rire (à peine quelques petits sourires par ci par là), et pas d’amour avec un grand A, juste une jolie (et encore…) petite romance.
Et je vous épargne l’histoire de l’ex-fiancée cruelle, de la vieille tante revenue d’entre les morts qui finit par mourir, de la belle-famille, de la sœur parano, des veuves noires épuisantes,… et je pense que j’en oublie.
Bon je viens de relire ma critique et je m’aperçois qu’elle est vraiment assassine et j’aime pas trop ça mais c’est vraiment ce je ressens après lecture (même ma tablette de milka m’apporte zéro réconfort après cette déception …). Peut-être que ce livre va plaire à certaines (et je l’espère car c’est vraiment une auteur que j’aime habituellement) et qu’un jour je le relirais et me dirais que j’avais vraiment été nulle d’écrire cette critique (par contre je sais pas si j’aurais la motivation pour le relire un jour).
http://lune-et-plume.fr/tout-sauf-le-grand-amour-de-kristan-higgins/
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